Tuesday, February 21, 2006

partir aux states

Hi tout le monde,

ça fait longtemps que j'ai posté quelque chose alors je viens dire deux mots vite fait:

C'est la merde la paperasse pour partir aux States! Mais sinon c'est de la balle.

J'ai pas de temps alors

see ya

Wednesday, February 15, 2006

les défis du nucléaire

Je vais essayer de vous présenter en quelques mots ce qui se passe dans le domaine de l’industrie nucléaire et ce qui va se passer. Cet article est la réunion d’informations que j’ai pu avoir au cours des deux dernières semaines où j’ai eu l’introduction au cours de génie atomique.

Tout d’abord, pourquoi a-t-on eu l’idée du nucléaire ?

Le principe physique derrière est la réaction de fission, dans le cas les réacteurs actuellement en France : 235U + neutron → fission en 2 noyaux de masses voisines.
Cette réaction libère 200.106 eV soit 50.106 de fois plus que les réactions de combustions classiques qui ont lieu dans les autres centrales.
Si bien que 1kg d’Unaturel= 10 tep, tep = tonne équivalent pétrole.
A partir de là, on commence à pressentir l’intérêt du nucléaire.
Seulement le nucléaire a un inconvénient, il produit des déchets, très nocifs, pour une durée très longue mais il les produit en très faible quantité et l’on sait très bien s’en protéger. Seulement cela rend l’énergie nucléaire difficile à accepter par les populations.

Le parc nucléaire français actuel :

La France produit 85% de son énergie par le nucléaire, c’est le pays le plus nucléarisé au monde. En France, les réacteurs sont des REP, c’est-à-dire des réacteurs à eau pressurisé. Cela permet à la France d’avoir une relative indépendance énergétique de la France. Cette filière permet d’avoir un prix du kWh stable, car le prix est surtout déterminer par l’investissement (càd le coût de construction de la centrale) et non le prix de la matière première, qui ceci étant dit à un prix stable et bas actuellement (enfin, ça a monté ces derniers temps).

Maintenant 2 mots sur les autres sources énergétiques et les problèmes de demain :

Il y a le pétrole… Mais, prix très fluctuant, très haut, ressources qui s’essoufflent (on a dépassé le pic, càd que l’on extrait plus à présent que l’on trouve de ressources). Et ça pollue.
Les autres énergies fossiles (gaz), ont un problème, elles émettent du CO2, et vous avez tous entendu du réchauffement climatique…
Il y a l’hydraulique, elle représente aujourd’hui 3 ou 4% de la production de l’énergie mondiale ; c’est une énergie propre mais on est en limite d’exploitation : il ne reste plus que le barrage des 3 gorges en Chine, comme gros projet et l’on peut peut être construire ici ou là encore des barrages mais globalement les marges de progression sont faibles, on a fait le tour de cette ressource.
L’éolien : c’est la ressource absolument pas viable. EDF en met dans toutes ces pubs, parce que c’est bon pour la com, mais malheureusement, je ne me trompe presque pas si je dis que ce n’est bon qu’à ça. Une disponibilité de 20% et un rendement mauvais impliquent de fortes variations de production (donc pénurie ou excès.). L’Allemagne qui en a 10000 dans le nord est perdante. Surtout qu’en Europe, quand il fait froid ou chaud, c’est qu’on a un anticyclone et donc pas de vent !
Le solaire thermique : c'est-à-dire centrale de panneau solaire. Ce n’est pas viable non plus. C’est utile comme appoint, pour un domicile par exemple, mais ce n’est pas performant pour la production d’énergie en grande quantité et c’est le problème que l’on se pose là. Si, ça n’est pas viable, c’est simplement parce que le rayonnement solaire a une densité d’énergie de seulement 1kW/m², faible donc et de plus les pertes sont importantes.
Le nucléaire : forte stabilité des coûts, combustible le moins cher, bon rendement… Cependant, il y a aussi des moins (gestion des déchets entre autre et voir après, il faut améliorer le nucléaire actuel.)
L’Hydrogène : pas si simple, on est loin d’y être. Rien n’est gagné pour l’instant, il y a encore plusieurs à surmonter.

Or les besoins énergétiques se font pressant : Du fait de la croissance des 2 grands (Inde et Chine), l’augmentation de la population mondiale, les besoins en énergie vont fortement augmenter. Pour faire simple, voir la difficulté, et le défi du nucléaire, je vous donnerai qu’un chiffre :
Si l’on a recours autant que l’on peut les autres énergies que le nucléaire, et le nucléaire en appoint, et bien les ressources en uranium naturel seront épuisés en 2050 ! Bref, en même temps que le pétrole. Cela justifie en partie la nécessité de changer de technologie de l’avenir.

Car aujourd’hui la majorité des réacteurs dans le monde sont des réacteurs à eau : or ceux-ci ne consomment que 0,5% de l’uranium naturel. Pourquoi ? Cela est du à des histoires de désintégration de noyaux : l’235U utilisé, a une demi vie plus courte que l’238U, si bien qu’il n’y a plus que 0 ,7% d’235U dans l’Unat aujourd’hui et à l’inverse 99% d’238U. Or il existe des réacteurs qui peuvent valoriser l’238U aussi, ce sont les réacteurs à neutrons rapides, il y en a déjà eu 2 en France : Phénix et SuperPhénix (fermé en 97 pour raisons politiques). Bref pour ne pas rentrer dans les détails, il vous suffit de retenir que ces types de réacteurs permettent de valoriser de 70 à 90% de l’Unat contre 0,5% pour les réacteurs à eau, et ils sont donc la clé pour subvenir à nos besoins énergétiques.
Ils ont par ailleurs de multiples avantages que je vais présenter après, mais ils ne seront construit qu’en 2040, d’ici là on va construire des EPR qui sont des versions améliorées des REP existant actuellement. Vous devez vous demander pourquoi attend-on ? Et bien parce que pour l’instant les réacteurs rapides sont très mal acceptés et l’on doit d’abord les améliorer grandement avant de les mettre en marche.

Je vous présente donc ce qui va se passer dans le futur :

AREVA vend en ce moment au chinois par exemple, son EPR, c’est ce qu’on appelle les réacteurs de générations III. On peut entendre dans les journaux qu’ils sont révolutionnaires mais en fait, c’est complètement faux, c’est la continuité des réacteurs actuels, ce sont des versions améliorées des REP (ce qu’il y a en France en ce moment) particulièrement au niveau des performances économiques et de sécurités. Mais ils ont toujours le défaut d’utiliser que 0,5% de l’Unat.

Ensuite, viendront les réacteurs de générations IV. C’est là, que l’on peut parler de révolution technologique. Il y a que 6 réacteurs qui sont encore à l’étude, parmi ceux-ci des réacteurs rapides dont j’ai déjà parlé.
Dans le cadre de Génération IV, on donne la définition du nucléaire du futur, pour satisfaire les besoins énergétiques croissants dans une perspective de développement durable (5 grands enjeux):
-poursuivre les progrès en sûreté et compétitivité économique.
-économiser les ressources naturelles.
-minimiser la production de déchets longue vie.
-la sécurité au sens large et particulièrement la lutte contre les risques de prolifération.
En plus de ces 5 enjeux, les modes d’utilisation de l’énergie nucléaire, notamment la possibilité de produire massivement de l’hydrogène, ont été un élément supplémentaire de choix des concepts.
Pour minimiser cette production de déchets : on réutilise les matières fissiles (U) et fissiles (Pu) du combustible usé et l’on brûle et soustraie les actinides mineurs aux déchets ultimes. Les travaux ont montré l’intérêt de recycler le Pu et incitent à brûler les autres actinides pour réduire fortement la radiotoxicité et la puissance thermique résiduelle à long terme des déchets ultimes, la destruction est beaucoup plus facile en spectre rapide et ne s’envisage donc qu’avec les RNR, le temps pour retomber à une radiotoxicité égale à celle de l’Unat est alors de 300 ans seulement ! (/103 par rapport au REP et EPR). Ce que je dis peut sembler compliquer (j’ai fait un copier coller d’un rapport que j’ai fait), mais en gros comprenez qu’avec ces réacteurs, les déchets qui font si peur, seront nocifs « que » pour 300 ans contre 100000 ans avec les réacteurs d’aujourd’hui, et sont donc tout à fait gérable da façon simple.
La maîtrise du risque de prolifération s’obtient par le contrôle des technologies d’enrichissement et de traitement du combustible usé à l’export, par l’utilisation d’un combustible et de procédés de traitement inadaptés à la production des matières stratégiques à l’arme nucléaire et des contrôles des inventaires de matières nucléaires dans les centrales et les usines sous l’égide de l’AIEA. Plus que jamais, il faut lutter contre les risques de prolifération
Enfin pour l’économie des ressources, celle-ci est liée à la valorisation de l’U 238 et la surgénération (c'est-à-dire qu’on recrée en partie le combustible consommé et donc on peut le réutiliser), impossible en spectre thermique et donc avec les réacteurs à eau.
Concernant la sécurité, le niveau atteint par les réacteurs de génération III constitue la référence e le minimum à atteindre par les générations IV.
Le forum génération IV regroupe pays dont : les Etats-Unis, la France, le Japon, le Royaume-Uni, le Canada, la Corée du Sud. C’est une coopération internationale.
En somme, ces réacteurs sont la solution pour résoudre les problèmes énergétiques de demain, et permettre un développement durable.

Un dernier truc : ITER

tout le monde en a entendu parlé mais qu’est ce que c’est ?
Bah, c’est un réacteur expérimental pour ce qui viendra après ces réacteurs ou en complément de ces réacteurs de génération IV. Donc dans très longtemps, il repose sur un phénomène physique différent : la fusion et non la fission.

Je m’arrête là, j’en ai marre mais ATTENTION, j’ai fait très court, j’ai éludé beaucoup de choses, simplifiés d’autres, donc ce n’est pas tout à fait la vérité partout ou elle est incomplète, c’est juste pour que vous aillez quelques idées sur pourquoi fait-on de la recherche en ce moment, qu’est ce qu’on essaye de faire ?... Si vous voulez plus d’infos, documentez-vous !

Monday, February 13, 2006

2 articles du monde intéressants.

déficit révélateur

La France a accusé l'an passé un déficit commercial de 26,4 milliards d'euros. Un chiffre record qui vient soulever d'inquiétantes questions sur la santé de l'économie nationale. Le piètre résultat de la croissance à la fin de l'an passé vient aggraver le diagnostic.

Le gouvernement relativise. Le déséquilibre des comptes extérieurs s'explique pour partie par la facture pétrolière grossie par l'envolée des cours du brut. Comme aux Etats-Unis ou en Espagne, poursuit le gouvernement, le déficit serait la conséquence normale d'une expansion. Les ménages consomment beaucoup et importent téléviseurs, jouets et chemises de Chine : ces importations massives creusent naturellement les comptes. Enfin, ajoutent les ministres responsables, le déséquilibre ne porte pas à conséquence. Naguère, il eût affaiblit le franc et forcé à ralentir la croissance pour réduire les importations, aujourd'hui cette contrainte extérieure a disparu grâce à l'euro.

Tous ces arguments ne sont pas vides. Néanmoins, le trou reste ce qu'il est : tout pays en déficit importe du travail des autres, il augmente d'autant son chômage. Mais ce déficit est important aussi pour ce qu'il dit : un défaut de l'appareil de production.

Les chiffres, même si l'on fait abstraction de la facture énergétique, se dégradent depuis 1997. La part de marché des entreprises françaises se réduit. Nos exportations croissent, mais elles croissent moins vite que le commerce mondial.

Pourquoi ? La comparaison avec l'Allemagne est instructive. Notre voisin a regagné la première marche du podium des pays exportateurs grâce à une politique de compétitivité (baisse des coûts) et grâce à son bon positionnement sur les biens d'équipement. Quand la Chine bâtit des usines, les Allemands lui vendent des machines. La France est moins bien placée dans les pays à forte croissance (Etats-Unis et Asie) et elle vend, en dehors des Airbus, des produits dont la demande est moins dynamique (appareils électriques, biens intermédiaires).

L'autre facteur explicatif de la mauvaise situation extérieure tient à un manque d'investissement. La demande intérieure des ménages est forte, la demande extérieure des marchés dynamiques asiatiques ou américains l'est aussi, mais les entreprises françaises n'augmentent pas leur capacité. La cause ne serait pas les coûts de production qui restent relativement compétitifs, mais la rentabilité des firmes, plus faible qu'ailleurs, l'incapacité à promouvoir de nouvelles entreprises susceptibles d'investir les nouveaux marchés et, enfin, l'insuffisance d'innovation et de recherche.

Plutôt que de nier le problème, le gouvernement devrait en reconnaître la gravité et admettre que la médecine requise est de mettre en place une politique franchement favorable aux investissements.




La France inerte, la capital en grève.

La politique du gouvernement Villepin de lutte contre le chômage manque toujours l'essentiel. On a eu un volet social cet été : le premier ministre a réintroduit "le traitement social" du problème, c'est-à-dire le généreux paiement de nouveaux emplois par les contribuables dans le cadre du plan Borloo. Le gouvernement croit à son succès et il se vante d'un début de reflux du nombre de chômeurs. Bravo ! Sauf que c'est occulter que tous les autres pays développés ont connu une baisse semblable des statistiques du chômage. Celle de la France (le taux de chômage passe de 9,6 % fin 2004 à 9,2 % fin 2005) n'est pas plus forte que la moyenne de la zone euro (8,8 % à 8,4 %). On sait, surtout, la limite de cette voie : le coût très élevé pour les finances publiques, déjà très délabrées.


Le gouvernement a ouvert un nouveau front de lutte, plus tenable, cette fois-ci sur le plan juridique. Il modifie le code du travail pour faciliter les licenciements pendant deux ans, en espérant que cela désinhibera les employeurs d'embaucher. L'initiative va dans le bon sens, celui de la souplesse nécessaire dans une économie en mutation. Mais il reste à savoir si le CNE (contrat nouvelles embauches) et le CPE (contrat première embauche) ne vont pas se substituer tout simplement aux très nombreux dispositifs existants (CDD, stages et autres). Verdict dans deux ans, après l'élection présidentielle.

Mais rien n'a encore été entrepris sur le front principal de l'emploi : le gouvernement n'a toujours pas de politique économique. La France souffre d'une faible croissance et d'une absence de création d'emplois privés — les vrais emplois, comme disait Jean-Pierre Raffarin —, mais on ignore toujours le diagnostic qu'en fait l'équipe Villepin. Quelle est la cause de l'atonie ? Est-ce un déficit de demande ou un manque d'offre ?

La non-réponse villepinienne n'a d'explication que politique. Car en France, pays économiquement simpliste, la posture de gauche est de dire que c'est la demande qui a besoin de vitamines et qu'il faut donc augmenter les salaires. En regard, la position de droite est de penser que c'est l'offre, les entreprises, qui manque de tonus. Comme M. de Villepin s'inscrivait dans la tradition gaullo-communiste nationale jusqu'à récemment, il ne tranchait pas. Ni gauche ni droite, avec, au fond de l'âme, un penchant chiraquien anti-entreprises.

Finalement, sur le volet juridique de sa politique, le premier ministre a basculé du côté libéral avec la création du CNE. Il va devoir faire un pas de plus et se déterminer aussi sur le volet économique pour doter enfin le pays d'une politique claire. Car la terrible dégradation du déficit du commerce extérieur (26,4 milliards d'euros en 2005, contre 8,4 milliards en 2004) est un signal d'alarme. Même s'il existe des exportateurs dynamiques qui empêchent de considérer la bouteille comme totalement vide, le trou de nos échanges est révélateur de ce que Patrick Artus et Laure Maillard, économistes de la banque IXIS, nomment justement une "inquiétante inertie" du système productif national.

Malgré une demande intérieure soutenue (les consommateurs avides) et une demande extérieure très forte (le commerce mondial en expansion), "les entreprises hésitent à accroître leurs facteurs de production" : les usines et les emplois. Elles font des efforts de productivité, mais pas de capacité : "Les perspectives d'investissements restent très faibles." Jean-Marc Lucas, économiste de BNP Paribas, confirme : "La majorité des déterminants de l'investissement productif ont paru positivement orientés, en particulier des carnets de commandes plus garnis. (...) Pourtant l'enquête menée par l'Insee sur l'investissement fait état d'anticipation médiocre de la part des industriels" (Bulletin Conjoncture de janvier). En 2006, la demande interne et externe devrait continuer d'être vive, le problème est désormais clairement du côté de l'offre.

Quels sont les motifs de "l'inertie" ? Ce ne sont pas les coûts qui seraient trop chers (comme en Allemagne). Les salaires ne dérapent pas. En revanche, Patrick Artus et Laure Maillard listent quatre raisons. Deux sont connues : la faiblesse des PMI, qui ne parviennent pas à grossir et à exporter, d'une part ; d'autre part, l'insuffisance de la recherche et de l'innovation, qui laisse les producteurs français dans le milieu de gamme. Une troisième est régulièrement évoquée : l'inadéquation entre les formations et les qualifications demandées par les entreprises. Le bâtiment, l'électricité, la distribution... cherchent des bras.

La dernière est plus surprenante. Les résultats des groupes du CAC 40; qui sont annoncés ces semaines-ci, donnent l'impression que les entreprises roulent sur l'or. Faux ! La majorité des entreprises ont des profits faibles et en recul à cause des impôts et charges sociales (et non pas à cause des salaires). La France fait exception dans le monde, où la part des bénéfices a tendance à grossir. Cette faible rentabilité serait alors la source intime de l'inertie française, du faible investissement et, au bout du compte, du chômage. En somme, cela devait finir par arriver : en France, à son tour, le capital s'est mis en grève.

Sunday, February 12, 2006

offre de stage

J'ai reçu hier les papiers pour le stage chez Colas.
Il me proposait une indemnité de stage de 750€ en plus d'être nourri, blanchi et il me payait également l'AR en avion.
Malheureusement, malgré cette proposition forte aléchante, je crois que je vais allé là:


Wednesday, February 08, 2006

HK, HK es-tu là?


Aujourd’hui est encore un bon jour pour moi:

J’ai eu des nouvelles plutôt encourageantes pour ma césure à Hong-Kong:

j’ai eu un entretien avec le directeur des études de ma school, pour mon projet de césure à Hong-Kong. J’ai essayé un de vendre mon projet au mieux et de lui montrer qu’il fallait vraiment me laisser y aller et aussi de voir si j’avais mes chances.

Le résultat : lui n’est pas contre, mais il aimerait bien que je fasse plutôt un semestre à l’université avant de faire un stage de 6/8 mois à la SETEC par exemple à condition qu’ils me proposent quelque chose de bien, ce qui finalement correspond à ce que j’envisageais (donc c’est cool) et il me conseille de présenter mon projet d'année de césure comme cela au comité d’études.

Par ailleurs, il m’a dit qu’il en avait parlait au directeur de l’étude qui est tout à fait favorable à ce projet. Il a par ailleurs dit lors de l’entretien que mon projet était « inattaquable sur le contenu ». Il me faut par ailleurs des notes pas trop dégelasses, mais c’est le cas.

C’est donc de très bon augure.

Alors où ça peut coincer ?

Au comité d’études, il y a en plus des personnes précitées des profs, et c’est de là que ça peut coincer. Ceci étant dit, je lui ai demandé quels pourraient être les arguments et ils ne sont pas vraiment valables.

En somme, je suis assez confiant, mais il faut rester prudent et que je finisse bien mon projet pour le présenter.

La stratégie est la suivante : je m’inscris à l’université de HK pour les deux semestres pour acquérir un savoir académique important, avant de faire un stage de 3 mois après dans le BTP que je chercherai sur place, sauf si la SETEC me propose quelque chose de bien (un stage long) auquel cas je ne fais que le 1er semestre si c’est un stage de 6/8 mois ou je ne fais pas de semestre là bas si c’est un pour stage de 12 mois. Mais dans l’attente d’une réponse de la SETEC, je m’inscris pour les deux semestres à HK.

Voilà, dsl si c’est pas très clair mais je suis naz et j’arrive pas à dire simplement ce que je veux. Je referai l’article plus clair et sans fautes d’orthographes plus tard.

Pourquoi je suis fatigué ? Soirée Centrale au Queen jusqu’à 4h la nuit dernière, cours à 8h30, toute la journée et club CAV ce soir : dégustation de vins blancs, jaunes et de pailles de Jura qui mettent une claque quand même ;-)

Juste pour le plaisir des yeux:

Hong-kong by night and day:

Tuesday, February 07, 2006

Aujourd'hui est un très bon jour pour moi

Hello tout le monde,
voilà mon gros reuf, c'est dans cet article que je lâche la grosse news... Aujourd'hui est un bon jour pour moi, pourquoi?
Bon tout d'abord, en ce moment j'ai des cours de génie atomique forts intéressants (prochains articles la dessus...)
Bon mais ça ne suffit pas, alors?
J'ai une note aujourd'hui: A en statistiques.
Cool mais c'est encore juste. Pour être heureux…
J'ai appris que dans le cadre des semaines Athens (programme d'échange entre universités européennes et grandes écoles françaises), je vais passer une semaine à Budapest! Pour suivre des cours sur la construction des Ponts et particulièrement ceux de la ville de Budapest.
Là, c'est déjà pas mal du tout!
Et enfin, THE NEWS:
j'ai un autre stage:
à Chicago! Eh non mes brothers, vous ne rêvez pas. Il s'agit du stage où j'avais cru être refoulé. Mais aujourd'hui, mon directeur d'option (et également directeur du CEA) arrive et me dit que je suis pris là bas pour le stage où j'avais postulé.
Quoi?!!! C'est une blague?
Et non, ce n'est pas une blague, c'est juste que le responsable des stages, à qui on avait transmis la liste des élèves sélectionnés, avaient oublié de me mettre dans la liste qu'il a communiqué aux élèves. Le boulet! En fait, c'est pire que ça, mais je ne vous raconterai pas dans le détail l'histoire ici.
Donc en fait, je suis pris pour un stage à Chicago (et je pense prendre celui-ci plutôt que celui à la Réunion, et comment!)
see ya!

La liberté d'expression en France

La liberté d’expression est plus que jamais revendiquée en ce moment par nos politiques et ils ont bien raison, même si les caricatures sont outrancières, elles ont tout à fait le droit d’exister et la réaction dans certains pays ne sont pas acceptables…Seulement voilà, la liberté d’expression n’est peut être pas si bien ancrée que cela dans notre pays :

Un magistrat sanctionné pour avoir critiqué Nicolas Sarkozy

Il semble difficile, pour les magistrats du parquet, de participer au débat public : Didier Peyrat, vice procureur chargé des mineurs à Pontoise, a reçu, jeudi 2 février, un avertissement pour avoir publié deux tribunes dans Libération et Le Monde, à l’occasion des violences urbaines de novembre 2005.


[…]

Le premier article en cause, intitulé "Banlieues : Mai 68 ou Weimar", est paru dans Libération, le 8 novembre 2005. "Les événements qui se déroulent dans les banlieues françaises prouvent l'échec radical de la droite dans ses politiques de sécurité depuis avril 2002, y écrivait le magistrat. Mais on aurait tort de ne voir que le bilan piteux de la majorité UMP. (...) Nous savons maintenant que la criminalité est toujours là, tenace. Elle a résisté à vingt années de politique de la ville ; (...) aux démonstrations de virilité télégénique de Nicolas Sarkozy ; comme à l'augmentation des effectifs de police."

Dans Le Monde du 17 novembre 2005, sous le titre "Incendiaires et cogneurs", M. Peyrat appelait à faire le tri parmi "les jeunes des banlieues", contestant l'existence d'un mouvement de masse contre l'injustice sociale. Il ajoutait : "Luttons contre les causes. Bannissons les mots vulgaires, les insultes, la démagogie de M. Sarkozy. Faisons de la prévention. (...) Mais d'abord il faut vaincre le mal, à l'aide de ce bien commun : le droit."

Le procureur général relève des "critiques visant la politique pénale impulsée par le gouvernement pour lutter contre les violences urbaines". Mais aussi le fait que "M. Peyrat évoque la "virilité télégénique" et la "démagogie" du ministre de l'intérieur".

Le magistrat se réfère, lui, à la liberté d'expression, reconnue à tout citoyen par la Constitution et aux magistrats par leur statut. La réserve, souligne M. Peyrat, se comprend comme l'interdiction de mêler des considérations politiques à l'activité dans la sphère professionnelle. Les discours de M. Sarkozy ont, selon lui, "provoqué l'ouverture d'un débat public" et "pouvaient avoir un effet sur le climat dans lequel la justice pouvait faire son travail". Quant à la politique menée lors des violences urbaines, il affirme qu'elle n'est pas directement en cause. Au contraire, explique-t-il, "j'ai contribué à (sa) mise en oeuvre" : "Les consignes concernant les détentions de mineurs, instructions avec lesquelles j'étais en désaccord, ont été suivies. »

l'intégralité de l'article sur lemonde.fr

Qu’est ce qui permet de dire qu’il a parlé dans le cadre de l’exercice de ses fonctions ? Rien, alors pourquoi vient-on l’ennuyer, alors qu’il parlait librement en tant que citoyen français. Et tant que tel, il devrait avoir le droit d’attaquer aussi bien la politique mise en place à l’époque s’il le souhaitait ainsi que Sarko. On peut critiquer Mahomet en tant que journaliste mais pas la politique de Sarko ni la personne en tant que citoyen (ou magistrat)…

Friday, February 03, 2006

J'ai un stage Ingénieur!

Hello ami lecteur,


j'ai appelé aujourd'hui la RH de Colas avec qui j'avais fait un entretien et elle m'a proposé un stage de 3 mois à la Réunion (t’inquiète maman, j’emmène avec moi une bombe anti-moustique) , avec une partie étude en bureau et une partie travaux. C'est donc plutôt cool, maintenant j'ai quelque chose et je peux donc rouler plus sereinement. Les dates collent pile poil pour ma césure à Hon Kong, (normal je lui ai dit), donc mon programme sera peut être le suivant :

Du 1er juin 2006 au 30 août 2006 : à la Réunion chez Colas

Du 1er septembre 2006 au 9 juin 2007 : à Hong-Kong à HKU

Et après faut que je trouve un autre de stage de 3 mois pour occuper la période restante jusqu’au 1er octobre 2007 correspondant à la rentrée scolaire pour ma 3A aux Mines.

Ce qui signifie concrètement que :

- Ma petite maman, je risque de ne pas te voir pour un chtit bout de temps.

- Je ne pourrai pas être là au mariage de Cathy et Fred.

- ça sera de la bombe atomique.

Ceci étant dit, ne nous emballons pas, Hong-Kong, ce n’est pas encore fait, j’ai une rendez-vous avec mon directeur des études le 8 février et j’attends de voir ce que ça donne avec les autres boîtes que j’ai sollicité, en particulier : la SETEC, OTH et Vinci Grands Projets.

Amicalement votre.

Thursday, February 02, 2006

La Fedep

Aujourd'hui, j'ai reçu un coup de fil d'un gars de l'ENSAM qui fait parti du BNEI (bureau national des écoles d'ingénieurs) pour me dire qu'il y a ce soir l'AG de la Fedep... Connais pas. Il me dit que c'est une assoce qui regroupe les BDE des facs de Paris et la région Parisienne mais que le bureau en place n'a rien fait en gros, mais qu'il y aurait la présentation des projets du nouveau bureau pour cette année. En tant que membre de la Charte qui est un peu la même chose pour les les grandes Ecoles de Paris, je me dis que ça peut être cool d'aller y faire un tour, voir les projets, éventuellement, voir si l'on ne pourrait pas faire des trucs en commun. Par ailleurs, la Charte, a le droit de vote car elle est adhérente de cette assoce (première nouvelle).
J'arrive là-bas, c'est le bilan du bureau précédent, en effet ils ont rien fait cette année, l'assoce a l'air d'être encore plus dans la loose que la Charte quand je l'ai reprise. Le pire, c'est que les membres du bureau parlent à tour de rôle et se tirent dans les pattes en rejetant la faute sur l'autre.

Ambiance...
Je pensais que ça allait s'arranger avec l'élection du nouveau bureau. ça a été pire. Ils ont réussis à avoir deux listes (tout de même) de 3 personnes! Pour le boulot qu'il y a, c'est super short, et plutôt que de s'unir et d'essayer de rallier le plus de motivé, ils se sont démontés. Je me suis cassé avant la fin (il était 23h, ça avait commencé à 20h30), je ne savais toujours pas ce à quoi servait vraiment l'assoce et tout ça. Et quand à savoir si l'on pouvait essayer de monter des projets en commun avec la Charte, j'ai trouvé que c'était tellement le bordel et mauvais esprit (il fallait voir! ça se battait vraiment méchamment pour des clopinnettes, puisqu'à l'heure actuelle, l'assoce est morte) que je me suis: "Casse toi Bebert, c'est déjà assez dur de monter un truc pour toutes les écoles de la Charte."
Je leur souhaite tout de même bon courage mais à mon avis, c'est pas gagné.

Wednesday, February 01, 2006

Les stages, c'est toute ma vie...

Today,


J’ai eu un entretien de stage à la SETEC, c'est une boîte d'ingénierie dans le milieu de la construction. Clairement, c'est l'une des rares boîtes françaises chez qui j'aimerais bien bosser. Leurs activités correspondent vraiment à ce qui me plaît.
Si vous voulez voir ce que c'est : www.setec.fr (attention, il n'est pas très à jour... Ouh! Ce n’est pas bien).
Une autre boite française pas mal mais plus petite: www.arep.fr
et si l'on part à l'étranger: www.arup.com (ça, c'est la boite qui me tente le plus)
Revenons à cet entretien: il s'est bien passé. Il doit me contacter fin de semaine prochaine pour voir ce qui est possible de faire.
J'ai dis que j'envisageais une césure, mais qu'une part importante de celle-ci, devrait alors se faire à l'étranger et que pour un stage en France, c'était possible mais 3 mois à ce moment là (avant que je parte à HK "inch'allah", comme qui dirait l'autre).
Alors il m'a parlé de la Réunion, oki si c'est pour le stage 3 mois, mais si c'est pour la partie "étranger" d'une césure, là je suis pas ok.
Il m'a parlé Maroc, mouais, si j'ai HK, c'est sur je prends HK comme césure et pas la SETEC.

Il m’a parlé Japon… Alors là, tu m’intéresses mon bonhomme !

Enfin, ils ont un projet à Dubaï, pour la construction d’une île entière, très gros projet. Ils ont répondu à l’appel d’offre des Emirats arabes Unis, ils attendent la réponse, mais espèrent. (Affaire à suivre !) Donc éventuellement travailler dessus si je fais une césure et s’ils ont le projet. Why not ?! Surtout si HK c’est mort.

Donc plutôt bonnes les nouvelles. Un petit bémol : ils sont plus chauds pour un stage long qu’un stage de 3 mois (durée maximale si je pars à HK), donc si je suis pris HK (ce qui est la meilleure chose qui puisse m’arriver), il se pourrait qu’il me dise non même pour un stage en France de 3 mois… Alors que souvent les 2A trouvent des stages à l’étranger de 3 mois, et qui me donnait de ne pas demander trop avec un stage de 3 mois certes, mais en France.

Bref, affaire à suivre, j’espère que ce sera positif !

Les Parisiens...

Bonjour tout le monde,

Mon premier coup de gueule. Il fallait bien que ça vienne, je suis un guelard dit ma maman ;-)

Il paraît que les parisiens sont des cons! Boh non, ça, c'est les mauvaises langues qui disent ça... Aujourd'hui, alors que je reviens de mes petites courses chez ed, j'arrive à une intersection de petites du 5ème. Une mère et ces 3 enfants en bas âges sur des vélos à roulettes, veulent traverser... ça tombe bien, ils sont sur des passages cloutés et le bonhomme est vert. Mais pas de chance, 1 premier conducteur passe tout de même, elle crie au scandale, mais une seconde passe, elle hurle, et une troisième voiture qui voit ça, emboîte le pas des deux premières…

Si c’est pas être de pauvres cons ça !

Paris est la plus belle ville du monde… peuplée par les plus gros cons du monde.